Les pouvoirs publics soulignent que « tant que le prêteur n'a pas finalisé l'instruction du dossier, qui peut parfois nécessiter un certain délai en fonction de la situation individuelle du candidat à l'emprunt, du stock de dossiers en attente et de la situation économique, les simulations effectuées en amont n'ont qu'une valeur indicative et ne peuvent être assimilées à un engagement contractuel ».
Les pouvoirs publics relèvent que l'instruction de son dossier par un établissement bancaire n'empêche nullement le candidat à l'emprunt « de faire jouer la concurrence, et de solliciter l'examen de sa demande de prêt auprès d'une autre banque, afin de choisir l'offre la plus avantageuse ».
Le Gouvernement n'envisage pas de modifier la réglementation afin de bloquer le taux d'un prêt proposé par une banque pendant toute la durée d'instruction d'un dossier.